[RP] Les nouvelles fraîches

(Vendredi 1er février)

Une arrivée... calme.
Zed, Leendrill et Armosie arrivèrent tardivement au Pavillon de Chasse. Contre toute attente, ce ne fut pas Armosie qui obtint la palme du plus piteux état, malgré ces dernières semaines extrêmement difficiles pour elle. Le pauvre Leendrill, aussi pâle que ses cheveux, avait fait en chemin une rencontre un peu trop intime avec le dard d'une guêpe gigantesque. Une bonne nuit de sommeil plus tard ("et un peu d'popote spéciale !" *voix d'Armosie*), il était remis sur pieds.
Zed obtint cependant, sans surprise, la palme du râleur qui ne trouva pas de lit à son goût et repartit au beau milieu de la nuit.

(Samedi 2 février)

Une employée imprévue
Une Asura du nom de Clairr Cosmique a cherché et obtenu asile au Pavillon de Chasse, en échange d'y travailler, le temps qu'elle se remette d'une étrange disparition de ses biens à l'Ombre du Lion...

"On n'avait pas prévu que ce serait si fatiguant."
Une première grosse soirée pour l'auberge. Avec plus d'une dizaine de clients à satisfaire en tout, il fallut improviser, dans un chaos tout juste maîtrisé. Se retrouvèrent en cuisine Armosie et Clairr, suite à un dialogue dont voici un résumé approximatif :
Leendrill : "Vous sauriez préparer de la viande ?"
Armosie : "Ben, euh, ouais."
Clairr : "Non."
Leendrill : "... Essayez de vous en sortir."
Lilliana, Leendrill et Chiffly assurèrent la tenue du bar. Pas de casse visible, tout s'est sans doute finalement bien passé.
Plus de succès que prévu pour cette petite auberge perdue dans les bois ?

De l'amour dans l'air ?
En parlant de succès, il est depuis cette soirée beaucoup question du "charme exotique" de Leendrill, suite à l'approche flamboyante d'un client qui, loin d'être dénué de panache, d'esprit et de tripes, se décida à le séduire. Réussite à première vue mitigée, mais le charmeur ne semble pas du genre à abandonner facilement.
Il semblerait qu'évoquer l'histoire devant Leendrill puisse comporter quelques risques.

(Dimanche 3 février)

Dynamisme ménager
Il semblerait qu'Armosie se soit décidée à être hyperactive dans l'auberge.
Les lits sont fraîchement refaits, les draps propres, avec une agréable odeur de menthe.
La grande salle et le comptoir sont parfaitement nettoyés.
Une grande marmite de soupe aux légumes (courgettes, carottes, navets, poireaux finement broyés, oignon) attend encore d'être finie, il suffit d'en faire chauffer le contenu. Des croutons frottés à l'ail, des nouilles et du lard peuvent y être incorporés.

"D'abord je tire, après je cause"
Dans l'après-midi, une altercation a éclaté au bar. Un Asura aurait bondi sur le comptoir, braqué un pistolet sur un Humain, qui l'aurait désarmé et cherché à le maîtriser. L'Asura aurait alors dégainé un mini-pistolet d'une poche intérieure et tiré sur l'Humain, l'éraflant. La balle est toujours encastrée dans le mur en face du bar.
La suite du récit à ce propos est plus floue. Il se dit qu'une Armosie furieuse aurait mis des coups de bâton sur les fesses de l'Asura en le menaçant, citons : "d'le lui enfoncer dans l'fion" s'il ne descendait pas de son comptoir tout propre, enfin, qui avait été tout propre. Ce dernier aurait tenté de négocier, prétextant être quelqu'un d'important, mais aurait fini par accepter de nettoyer lui-même ledit meuble, face à une Armosie bien remontée par "tout c'fichu bordel, ah les hommes, j'vous jur', peuvent pas s'empêcher d'poser leur gross' virilité partout, et vas-y que j'respecte pas l'travail des z'honnêtes gens ! Et j'me fich' d'qui t'es ! Sous l'toit d'quelqu'un, t'respectes c'quelqu'un ! "
Tout s'acheva, parait-il, dans une ambiance bonne enfant. L'Asura se vit même offrir une tasse de lait au miel et évoqua l'idée de rencontrer le gérant des lieux.
Il parla, parait-il également, de Pirates.

Prom'nons-nous dans les bois
Armosie est allée récupérer la charrette commandée à la scierie, dont Lilliana avait parlé.
Parait-il qu'elle n'y est pas allée seule, Chiffly peut évoquer qu'il s'agissait d'un jeune homme qui repassa le soir même.
Vu le cadavre d'énorme sanglier retrouvé sur le chemin, criblé de balles, peut-être fut-il heureux qu'elle se soit faite accompagner !

En quête d'une source d'énergie ?
Un Asura bien remonté, accompagné d'un golem en piteux état, arriva en soirée au Pavillon de Chasse. Il connaissait Uther Ezeil, visiblement. Il négocia l'aide de ce dernier et de gens que le Capitaine présenta comme ses amis, pour aller chercher un artefact aux Hinterlands. Clairr remit le golem en état de fonctionnement, et ce sont ensuite pas moins de huit personnes qui se rendirent à la recherche dudit artefact. Dans la joie, la bonne humeur et la solidarité. Ou presque.
La suite ? Mystère. Toujours est-il qu'on revit le groupe dans la nuit, à l'auberge, dont Armosie avait assuré un minimum de gestion. Pas de morts, visiblement. Ou, en tous cas, pas du côté du groupe.

Clients présents jusque lundi matin
Un Humain qui s'est présenté sous le nom de Newyn, dans la chambre du fond au deuxième étage.
Un Charr du nom de Beardy, dans le premier dortoir du deuxième étage.
Aucun incident signalé, ni avec l'un, ni avec l'autre.

(Lundi 4 février)

Un terrible drame littéraire
Dans l'âtre de la grande salle, on peut voir les restes calcinés d'une reliure en cuir d'un livre visiblement mis à brûler là.
On déchiffre tout juste le titre :
"Echanges thermiques intim...... - les cha...des....... aventu...es......d.......................oubrette."
Sans doute de la haute littérature asura... Mais il ne reste plus la moindre page, le papier brûlant mieux que le cuir. Pourquoi a-t-il brûlé ? Mystère...

Un fou au Promontoire
D'étranges rumeurs sont parvenues jusqu'au Pavillon de Chasse, concernant un individu humain, masculin, cheveux argentés et petites lunettes, soit-disant docteur, qui pratiquerait des expériences non désirées et dangereuses dans les rues de la capitale.
Il semblerait que le charme exotique de l'un des gérants du Pavillon puisse se retourner contre lui, sur ce coup.

En rouuuge et noir
Un Humain aux traits féminins, à la tenue rouge et aux cheveux flamboyants aurait gracieusement servi d'intermédiaire à Armosie pour que cette dernière trouve un travail à temps partiel au Promontoire, auprès d'un dénommé "Monsieur Noiraud". Armosie a profité du passage de commerçants pour négocier un transport jusque là-bas, afin de le rencontrer. Revenue dans la nuit, elle semblait satisfaite - et encore plus fauchée qu'avant, ce dont elle ne semble pas s'inquiéter.

Et que fera-t-on si un autre golem casse ?
Clairr Cosmique a récupéré ses affaires "perdues" à l'Ombre du Lion grâce à l'intervention appréciée d'Aurèn. Après s'être répandue en remerciements, et changée pour se parer d'une tenue carrément classe, il paraitrait qu'elle a couru pour tenter de rattraper le transport d'Armosie... Inquiète pour sa sécurité. À tort ou à raison ? Qui sait !
En tous cas, le Pavillon de Chasse va très certainement devoir se passer de présence asura pour quelques temps.

Serveuse servie
Armosie se serait fait servir un repas par un client. On raconte même qu'il était à moitié à poil. Simple rumeur, sans doute.


Clients présents dans la nuit du lundi au mardi
Une Humaine du nom de Shew, repartie pendant la nuit, son instinct l'appelant au front.
Le Charr du nom de Beardy, dans le premier dortoir du deuxième étage. Le lit juste à côté de celui d'Armosie. Comme la veille.
Un couple d'Humains... Et cela ne nous... regarde pas !

(mardi 5 février)

Grrr, taper ! Taper-taper-taper !
Deux protagonistes, masculins comme presque toujours dans ces cas-là, un Humain et un Charr, se sont joyeusement mis sur la tronche devant l'auberge. Ils ont bien essayé de faire ça dedans, mais une Armosie fulminante y a mis un ferme véto.
Pas de grosse casse, quelques traces d'un duel au marteau et à la magie nécromante.

La fin du drame littéraire
Armosie nettoyé la cheminée du rez de chaussée, retirant les restes de la couverture de livre en cuir. Râlant à mi-voix, Chiffly pourra témoigner qu'elle a marmonné : "qu'elle a vraiment pas d'humour, la d'moiselle, mais qu'ça peut p't-êt' b'en s'améliorer".
Sans doute encore des élucubrations sans queue ni tête de la part de la gamine.

Les Charrs ont toujours leurs couverts au bout des doigts
Chiffly signalera à tout membre du personnel qu'un Charr a préparé des tranches de viande de sanglier grillées, au vin rouge et aux épices. Le plat peut être réchauffé et goûté, semble très réussi, et très charr dans l'âme : des protéines, des protéines, et encore des protéines.
Il parait que ce même Charr aurait parlé avec Armosie d'un potentiel poste en cuisines. Peut-être ce plat aidera-t-il à déterminer s'il obtiendra ou non l'emploi ?...

Clients présents dans la nuit du mardi au mercredi
Une chambre confortable pour Clairr qui a payé nettement plus que nécessaire.
La chambre du fond, deuxième étage, pour un nécrologue humain du nom d'Andrew, qui dort finalement sur la paille de la grange avec ses bestioles mortes-vivantes.
Beardy le Charr toujours sur son lit du premier dortoir.

(jeudi 7 février)

"Marchander, ça, j'sais faire"
Après une matinée passée à marcher dans la forêt alentours, Armosie est rentrée avec toute une ribambelle de lapins morts, a préparé d'avance une bonne quantité de ragoût de lapin "à l'armosienne" et sera partie jusqu'à demain. Elle a prévenu Chiffly qu'elle accompagnait des commerçants aux marchés de Shaemoor et Claypool. Elle a récupéré un peu du budget consacré aux approvisionnements et a garanti le rentabiliser "pour d'vrai pas'qu' d'après l'comptes d'la d'moiselle 'mélie, on s'fait un peu arnaqu' là pour l'instant ! 'Vont voir à qui qu'y z'ont affair', là !"
Il est probable que les commerçants des marchés de la Vallée de la Reine découvrent subitement le marchandage à la façon de l'Arche du Lion... Et ce dans la douleur !

(lundi 11 février)

"Ce sont des habits ? Ça ? Vraiment ?"
Chiffly pourra dire à qui l'interrogera sur "où est Armosie ? Elle n'est pas là depuis ce matin ?" :

Spoiler:

(jeudi 14 février)

"Ça... froufroute."
Sa très chère amie aux cheveux roux finalement indisponible, Armo' s'était mise en tête de se faire elle-même une robe. Rentrée au Pavillon de Chasse avec du joli tissu, elle avait à peine débuté son ouvrage qu'heureusement, Dame Anastasia et Clairr l'Asura lui épargnèrent cet effort un peu désespéré.
Après quelques heures de tortures vestimentaires dans la chambre de la Noble, dont on n'entendit que les cris de désespoir, d'en bas... Du genre : "J'veux mourir de honte !" ou "Non mais j'ai l'air d'une p... d'une pr... d'une... fill' légèr' là !"... Une Armo' vêtue comme une demoiselle de bonne famille fut présentée dans la grande salle comme un trophée par les deux courageuses habilleuses, accompagnée par Beardy qui avait lui-même enfilé sa tenue de soirée, pour la soutenir moralement.


N'est point espion qui veut
Un voyeur parvint à profiter des essayages vestimentaires. Mais quand il tenta de menacer Armo' pour l'obliger à se déshabiller devant lui, et plus, même sans affinités, il rencontra un refus catégorique de la part du trio Clairr-Hino'-Armo'.
On le vit catapulté à l'extérieur un peu plus tard, par un portail de sortie placé sur une fenêtre à l'étage, le portail d'entrée ayant visiblement été placé sous les pieds du pauvre Humain (façon "Portal" !). Accompagné par un commentaire furieux du genre : "On en a émasculés à la p'tite cuillèr' pour moins qu'ça, à l'Arch' !"

Linge de maison
Il y a dorénavant des petites nappes sur toutes les commodes et les tables de nuit, dans les chambres, ainsi que de jolis rideaux aux fenêtre des chambres du premier étage.
Le tout cousu avec du beau tissu tout neuf... Un peu trop chic pour du linge d'ameublement, d'ailleurs... C'est quelque peu surprenant, mais pas dénué de charme.

L'inquiétude des Chasseurs
Certains Chasseurs habitués aux environs parlent d'une diminution étrangement forte de la population de lapins.
Bizarre, bizarre...

(samedi 16 février)

Y a pas d'fumée sans feu
Une odeur de cramé tend à perdurer dans la cuisine. Bizarre, bizarre.

Clients présents jusque samedi matin
L'auberge est bien remplie de clients humains et charrs. Si votre personnage passe au dernier étage, il notera que...

Spoiler:

(mardi 20 février)

La nuit du lundi au mardi
Une soirée éreintante, ce lundi soir. Le relais se vit bondé non pas de chasseurs, mais de pirates et de trafiquants en tous genres... Oh, rien de bien illicite ouvertement, mais l'ambiance parut plus chargée que d'habitude, chacun s'observant un peu en coin, nouant des liens, intriguant à couvert, charmant, mentant, le tout avec plus ou moins de succès. Une Trinit, balafrée mais vivante, aurait fini dans le dortoir et dans le même lit que le capitaine Djüra ; simple rumeur, sans doute. Un barde du nom d'Astegan testa un whisky extrêmement fort, dégoté mystérieusement par Armosie qui, parait-il, s'en sert à présent pour récurer les cuivres ; rumeurs toujours, sans doute. Le barde enchanta - ou désenchanta - son auditoire de quelques récitals humoristiques. Le menu, quant à lui, présenta du poisson fraîchement pêché et cuisiné par un duo désassorti que l'on commence à s'habituer à voir au Pavillon : le jeune noble et la gamine des bas-fonds de l'Arche.
Le dortoir finit blindé de monde, les clients finirent avec le ventre plein et assez imbibés pour avoir mal au crâne le lendemain. L'équipe épuisée pourra se féliciter d'une soirée... sans heurts, malgré le type de "faune" présent, et lucrative.

"J'vous l'dis, qu'c'est pas normal !"
Les chasseurs du coin sont formels, malgré le fait indéniable que le Pavillon accueille et nourrit de plus en plus de monde, il se passe quelque chose d'anormal avec la population des lapins, qui décroit vertigineusement. Affaire à suivre...

La nuit du mardi au mercredi
Après une nuit surchargée, la soirée du mardi parut calme avec ses cinq ou six clients. Dame Anastasia rentra d'une séance de voyance, épuisée. Quelqu'un ressemblant fort à Hinoru Koralkirh créa quelques remous - son frère jumeau, pourra préciser Chiffly. Il pourra également raconter comment Armo' reçut un courrier via un messager, décréta que "les gens qu'disent qu'il faut respecter les règles, c'sont ceux qu'les règles privilégient", et fila joyeusement à l'anglaise l'archoise, disparaissant littéralement, pour que personne ne la suive vers ce qu'elle présenta être comme "probabl'ment des z'ennuis", sans toutefois avoir l'air très inquiète.
Elle ne rentra pas de la nuit, son lit dans le premier dortoir est vide au matin, une première depuis l'emménagement au Pavillon.
Clairr lui a donné une boucle d'oreille un peu spéciale, avant qu'elle ne s'en aille...

(Vendredi 22 février)

La discrétion absolue
Mercredi soir, une réunion discrète eut lieu discrètement au sous-sol entre gens discrets.
C'est vrai, hein, ce n'est pas comme si l'encapuchonné et la sale gosse s'étaient engueulés d'entrée de jeu devant tout le monde. Pas non plus comme si Clairr avait claironné qu'Armo' était attendue au sous-sol par Leendrill. Pas non plus comme si tous les clients peu recommandables avaient pu voir qui participait.
Non, globalement, ce fut une entrevue tout à fait discrète, sous le signe du calme et de la solidarité, prouvant (une fois encore) l'étendue du professionnalisme et de la réussite d'un mystérieux petit... groupe ? Enfin officiellement, il n'est évidemment question que de gestion de l'auberge.

Heureusement que les murs sont épais
Avec l'augmentation de la fréquentation de l'établissement, l'on note en parallèle une augmentation considérable des activités infra-litales de couples au Pavillon de Chasse. Un Humain semble particulièrement efficace dans ce domaine. Lui-même se fait appeler Adam, mais comme ses "potes" le désignent par Marik, l'on peut noter que les gérants du Pavillon ne sont pas les seuls bras cassés côté discrétion. Ce qui est un peu rassurant côté équilibrage des forces en jeu...
D'un point de vue purement budgétaire, il pourrait être intéressant d'embaucher ledit Marik à plein temps, pour fidéliser la clientèle féminine.

A part ça, tout baigne !
Une Armo' inconsciente aurait été ramenée à l'auberge par Leendrill et Zed. Elle aurait passé une bonne partie de la fin d'après-midi dans la chambre de Leendrill, avec Zed, puis Leendrill l'aurait relayée et aurait passé la nuit avec dans la même pièce que Zed.
Mais évidemment cela n'a rien à voir avec le thème du paragraphe précédent. Enfin, avec l'exostime, l'on n'est jamais tout à fait certain, maiiis...

(lundi 25 février)

Ze plèïss tou bi !
Les clients se multiplient plus vite que des lapins - surtout si l'on parle des lapins de la Forêt de la Reine. Le troc, les dons d'encouragement et les pourboires vont bon train, les bénéfices sont extrêmement supérieurs à tout ce qui aurait pu être anticipé. Armo' elle-même est couverte de cadeaux, même si elle en refuse beaucoup, par principe, ou n'accepte que la moitié quand c'est possible. Et dépose la majorité de l'argent qu'elle reçoit dans les caisses de l'auberge.
Si une personne extérieure jetait un oeil à la comptabilité, elle serait sans doute persuadée que l'auberge sert de couverture pour blanchir de l'argent. Mais ce n'est pas le cas... N'est-ce pas ?

Chat errant
Armo' était absente de l'auberge tout le vendredi, et n'est rentrée que le samedi soir, en discutable compagnie. Dimanche, elle était également absente jusqu'à des heures indécentes, et est revenue avec une autre discutable compagnie. Et avec l'air toujours aussi à l'aise...
En tous cas, elle est dans une forme éclatante et se change bien les idées...

Hôtellerie
L'auberge était littéralement remplie cette fin de semaine. Les clients nocturnes allaient du duo de Sylvaris bourrés, au voyageur norn solitaire, aux Humains libertins "mais cela ne nous regarde pas".

(Mercredi 27 février)

Au fond, on est tous des mauvais garçons
Plus de trente infréquentables pour le pic d'affluence au banquet à l'initiative de Rowan. Il en avait annoncé une dizaine, mais heureusement, au Pavillon de Chasse, "on est pas chiants !" comme dirait Armo'.
Celui-ci a fourni cinq tonnelets pour la consommation de ses "amis", d'hydromel et de bières diverses, ce qui n'a pas été consommé appartient à l'auberge de plein droit.
La soirée ne fut finalement pas extrêmement mouvementée. On peut noter qu'il y avait deux intrus qui étaient fréquentables : un gentil Norn et un voyageur encapuchonné à la peau pâle. Pour le reste, personnel de l'auberge compris - soyons réalistes - il y avait là, pour notre plus grand plaisir, à peu près toute la lie de l'humanité tyrienne, et même de l'Asura et du Sylvari pour compléter ce joyeux tableau !
Il y aura sans doute un deuxième banquet, car celui-ci a fini dans l'éparpillement le plus total (entrecoupé par la grosse MàJ à 22h, qui a sonné le glas de l'event)

(samedi 2 mars)

La légende de la paladine au polochon
Il se raconte une drôle d'aventure au Pavillon de Chasse. Sans doute déformée par des chasseurs fatigués et décemment imbibés, et un Chiffly qui aime faire son intéressant de temps à autre.
Pour résumer, il est question d'un certain Capitaine au nom qui jure. Il aurait tiré dans la jambe d'une femme en éternuant, pour des raisons aussi obscures que morveuses. Jusque là, rien de grave - ou rien de très inhabituel - mais le problème est qu'il l'aurait fait devant l'entrée du Pavillon. Or, il est de notoriété publique, à présent, qu'Armo' considère que "sous mon toit, ma loi !" Il est également de notoriété publique que "sa loi" dépend un peu de son humeur, mais tend globalement à se résumer ainsi : "fais pas chier mon commerce". À noter, de plus, que "sous son toit" comprend également les alentours proches du Pavillon, même s'ils ne sont plus surplombés de tuiles. Dans un autre univers et à une autre époque, l'on aurait sans doute conclu "Women Logic..." mais certainement pas face à Armo', à moins d'être complètement dénué d'instinct de conservation.
Bref ! La légende raconte qu'Armo' aurait tiré en pleine tête du Capitaine. Avec une taie d'oreiller sale. Plus étrange encore, son tir aurait touché. Encore plus incroyable, cela aurait grandement plu et amusé ledit Capitaine - en plus de mettre fin à l'étalage de violence peu propice aux profits du Pavillon. Il y aurait ensuite eu un récit interactif sur la piraterie et un raton laveur mort offert dans un petit sac de toile, ces passages-là de la légende sont un peu troubles.
La fin du récit parle d'un nouveau surnom paladinesque pour Armo' - et il parait que ça la hérisse - et d'une petite fleur des champs que le Capitaine lui aurait offerte, et qui sècherait actuellement entre les pages du livre de chevet de la sale gosse.
La part de vérité et la part d'exagération ? À vous de démêler, bien sûr.

Ca brûle !!
Le tavernier Charr, Beardy, à fait goûter de L'Eaufeu à un jeune humain habillé en bleu, ce dernier semble ne pas avoir réussi à apprécier toute la subtilité de cette boisson de la légion de fer et ne pouvant marcher correctement, il aurait passé la nuit sur place dans la chambre que loue le jeune Hino, un habitué aux cheveux roux.

Bourrage de crâne ?
Il apparaît que Beardy possède une pipe ! Elle lui aurait été offerte par un ami humain et représenterait la tête d'un Charr où la fumée s'échapperait d'entre les cornes.

Euh c'était pas lui le méchant des deux ?!
Il semblerait que le jumeau maléfique d'Hino' se soit un peu calmé, ce qui n'est pas pour surprendre ceux qui ont l'habitude de subir son caractère difficile. Le jeune Artanael s'en serait même fait un ami, mais où va le monde si les équilibres sont perturbés ?...

... Ça va mal finir !
Fraîchement devenu amis, voila que le jeune Artaneal se laisse déjà influencer par Haruno le sale gosse, selon Chiffly, le jeune noble s'est fait entraîner dans une histoire de pseudo-faux-kidnapping ! Ça sent les ennuies...

Comme une boule de flipper...
Arrivée de deux nouveaux clients, un humain et une sylvari à la taverne pendant le service. Artanael, aussi présent, ont pu en apprendre un peu plus sur ces derniers. L'humain , vêtu d'une armure de fer et de bleu, semble très bipolaire: il était très rapide dans sa discussion et s'est écroulé de sommeil sous les yeux des 3 autres. On a aussi appris ses origines éloniennes et sa descendance d'un ordre ancien de là bas.La sylvari quand à elle, en compagnie de son chien fougère, cherche à adopter un maximum d'espèces animales et découvrir le monde. Elle dispose aussi d'un caractère enjoué. [] Toutes références à Pokemon sont fortuites. [/HRP]

BOUMchikawawa!
Hier s'est déroulé un événement plutôt étrange. Un (ou une? Nous resterons sur ''il'')est venu au "Pavillon de chasse" et s'est amusé à lancé des fioles. Ce n'est qu'après que nous avons appris que c'était des mini-explosifs et l'asura a été éjecté fissa de l'établissement. Bilan de "l'attentat" : 0 mort, et 1 blessé si l'on peut dire ainsi: le plancher ,tout propre après avoir été ciré par Armosie, a été noirci et cela semble irrécupérable.

Tout feu, tout flemme.
Haruno, arrivé juste après l'incident précédent, paraissait ailleurs et fatigué. Suite à un malaise, il a été porté dans la chambre de son jumeau par Beardy accompagné d'Armo' et Arta. Ces deux derniers se sont occupés de lui afin d'identifier le mal dont il soufrait. Des bruits de métaux et de chutes se sont fait entendre et enfin une odeur de brulé se fit sentir. Ankarine n'écoutant que son courage a décidé d'aller voir ce qu'il se passait. Après d'interminables minutes, Armosie et Ankarine sont redescendues. Armosie avait les mains totalement bandées et sentant ... Plutôt "fort". Armosie annonça que le meilleur lit et les meilleures couvertures avaient brulés et que la facture des réparations, en plus de la facture du baume qui lui a été appliqué, était pour Haruno. Ce dernier est redescendu peu de temps après, frais comme un gardon en compagnie d'Artanael pour repartir après s'être excusé. Ils ont été rejoints par Armosie qui repartait aussi pour le Promontoire.

[HRP] SI il y a des grosses erreurs ou si ça ne correspond pas au but de ce sujet, dites le moi et je supprimerai/corrigerai. Et je sais aussi qu'il y a eu d'autres événements mais je n'ai pas trop suivi. Désolé ^^' [/HRP]

[HRP] Au contraire, c'est parfaitement dans l'esprit ! Même des titres avec de l'humour ! Continue comme ça ò/[/HRP]